La leçon du passé
Force est de constater que le passé sportif est un tremplin bien séduisant pour rentrer dans la famille de l'ultrafond.
Mais rien n'est jamais acquis par avance dans cette discipline ce qui remets toujours en question son fondement sur la façon d'adopter une stratégie permettant une gestion sans heurs.
Il faut donc bien comprendre que chaque individu à son propre passif et qu'il déploie sa propre personnalité physique et mentale.
Si les questions primaires sur les différents tactiques à employées n'étaient pas si complexe ce qui n'est qu'un "iceberg" dans cette multitude de paramètres,les facultés personnelles seraient d'autant décuplées dans la durée.
Les positionnements sur les facteurs chronométriques peuvent aussi bouleverser la "donne" ce qui implique aussi une vigilance permanente sur son avancement sportif pour une efficacité élémentaire tout les "feux " doivent -être aux "verts"ce qui laissent à penser que ceux -ci sont optimal et sans ambigüité
pour un bon déroulement d'épreuve.
l'acclimatation à l'effort long sur le long terme,rien n'est plus traumatisant que de devoir suspendre voir arrêter une discipline si le sportif(ve) a pris des risques inconsidérés sur ces capacités réelles tant physiologiques que mentales avant
coût .
L'intérêt de l'ultrafond étant d'abord le plaisir sportif avant tout sans prendre de
risques inutiles ,la bonification se trouve dans le temps et non point dans une
durée restreinte et de ses connaissances premières pour une satisfaction toujours d'actualité.
Runner14.
20 mai 2010
Mais rien n'est jamais acquis par avance dans cette discipline ce qui remets toujours en question son fondement sur la façon d'adopter une stratégie permettant une gestion sans heurs.
Il faut donc bien comprendre que chaque individu à son propre passif et qu'il déploie sa propre personnalité physique et mentale.
Si les questions primaires sur les différents tactiques à employées n'étaient pas si complexe ce qui n'est qu'un "iceberg" dans cette multitude de paramètres,les facultés personnelles seraient d'autant décuplées dans la durée.
Les positionnements sur les facteurs chronométriques peuvent aussi bouleverser la "donne" ce qui implique aussi une vigilance permanente sur son avancement sportif pour une efficacité élémentaire tout les "feux " doivent -être aux "verts"ce qui laissent à penser que ceux -ci sont optimal et sans ambigüité
pour un bon déroulement d'épreuve.
La relation de la vitesse et de l'endurance se complètent malgré les différences notables entre ces deux critères,en effet la première peut toutefois être prise en compte car sur les épreuves horaires celles-ci est un support non négligeable si celle-ci est en rapport direct avec l'individu ,il va s'en dire que l'endurance est le pilier de la réussite toutefois pour éviter le grand "saut dans le mur".
Avec de la sagesse et de la persévérance l'ultrafondeur(euse) peut envisagé(e)
son avenir d'ultra avec sérénité s'il prend en considération l'espace temps pourl'acclimatation à l'effort long sur le long terme,rien n'est plus traumatisant que de devoir suspendre voir arrêter une discipline si le sportif(ve) a pris des risques inconsidérés sur ces capacités réelles tant physiologiques que mentales avant
coût .
L'intérêt de l'ultrafond étant d'abord le plaisir sportif avant tout sans prendre de
risques inutiles ,la bonification se trouve dans le temps et non point dans une
durée restreinte et de ses connaissances premières pour une satisfaction toujours d'actualité.
Runner14.
20 mai 2010
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