La nature complice
Une discipline à part entière qui amène l'individu au contact de la nature tout en permettant de participer à une épreuve d'ultrafond dans un esprit de respect des valeurs essentielles plus spécifiquement encore en guidage en binôme.
Un épreuve de ce type d'ailleurs ne doit pas être prise à la légère son identité étant bien connue celle-ci est souvent synonyme d'engagement total tant sur le plan physique que mental,certes les antécédents sportifs sont prioritaires en la matière et donne une certaine assurance qui peut sembler réelle.
En réalité ce n'est qu'illusoire tant de paramètres rentre en ligne de compte pour une bonne gestion d'épreuve .
D'abord son dénivelé qu'il ne faut point négliger est assurément un handicap majeur sur la notion même du guidage ainsi que son degré d'amplitude correspondant.
Le premier défi surtout en guidage pour moi a été complexe car je n'avais aucune base fiable sur celui-ci même à part ma propre expérience en individuel sur nombres d'épreuves d'ultra-trails voir de marathon-trails.
Bien sûr l'expérience peut en effet donner des bases saines pour une gestion bien établie mais celle du non-voyant ou mal-voyant qui officie pour la première fois sur de telles épreuves n'en comprends pas exactement les aboutissants.
Nous pouvons comprendre qu'il est toujours valorisant de partager de telles démarches sportives mais il ne faut pas systématiquement les placer sur le thème de la facilité ,bien au contraire .
L'enseignement sur le tard en apporte une preuve éloquente.
Juger sur un pied d'équité,il va sans dire que la progression de chacun n'est plus la même ,freinée d'abord par cet aspect sécuritaire d'avancement et d'anticipation d'une éventuelle difficulté ne peut contribuer à un résultat significatif de sa propre personnalité sur le plan d'abord kilométrique.
Nous comprenons aisément que courir en binôme ne reflète pas la réalité sportive de ces deux personnages et en atténuent leurs effets.Il est logique
de penser que la principauté de ce binôme est d'abord sa finalité plutôt qu'un intérêt personnel ,ce qui est naturel dans son ensemble.
La logistique de l'épreuve incombe donc directement sur le guide lui-même et ses facultés à gérer tous ces détails ainsi que celui du ravitaillement qu'il soit solide ou liquide qui ne doit pas être négligé sous peine d'un enrayement du binôme dan sa progression.
L'esprit d'équipe rentre aussi dans une logique de base,celle-ci est transmise du guide au non-voyant ou mal-voyant par un apport mental accru et un optimisme sans faille suivi par une gestuelle commune et bien décrite sur le terrain.
Le guide doit donc en permanence prévoir tout les écueils qui pourraient se dresser sur la route du binôme à savoir la gestion du terrain ,ses dénivelés,la durée d'effort à développer ainsi que le trafic de l'épreuve et bien sûr la faculté de pouvoir intervenir sur une éventuelle blessure ou d'un quelconque malaise qui d'ailleurs ce dernier ne devrait pas être présent si le guide et son coéquipier sont en excellentes conditions physiques et mentales.
En n'oubliant pas de demander l'intervention d'une assistance médicale s'il s'avérait que son protégé souffre d'une quelconque défaillance dans les plus brefs délais.
Si tous ces paramètres "sont au vert " pour le binôme alors aucun problème pour envisager une issue des plus appréciable agréable à vivre dans son ensemble.
Runner14
27 mars 2010
Un épreuve de ce type d'ailleurs ne doit pas être prise à la légère son identité étant bien connue celle-ci est souvent synonyme d'engagement total tant sur le plan physique que mental,certes les antécédents sportifs sont prioritaires en la matière et donne une certaine assurance qui peut sembler réelle.
En réalité ce n'est qu'illusoire tant de paramètres rentre en ligne de compte pour une bonne gestion d'épreuve .
D'abord son dénivelé qu'il ne faut point négliger est assurément un handicap majeur sur la notion même du guidage ainsi que son degré d'amplitude correspondant.
Le premier défi surtout en guidage pour moi a été complexe car je n'avais aucune base fiable sur celui-ci même à part ma propre expérience en individuel sur nombres d'épreuves d'ultra-trails voir de marathon-trails.
Bien sûr l'expérience peut en effet donner des bases saines pour une gestion bien établie mais celle du non-voyant ou mal-voyant qui officie pour la première fois sur de telles épreuves n'en comprends pas exactement les aboutissants.
Nous pouvons comprendre qu'il est toujours valorisant de partager de telles démarches sportives mais il ne faut pas systématiquement les placer sur le thème de la facilité ,bien au contraire .
L'enseignement sur le tard en apporte une preuve éloquente.
Juger sur un pied d'équité,il va sans dire que la progression de chacun n'est plus la même ,freinée d'abord par cet aspect sécuritaire d'avancement et d'anticipation d'une éventuelle difficulté ne peut contribuer à un résultat significatif de sa propre personnalité sur le plan d'abord kilométrique.
Nous comprenons aisément que courir en binôme ne reflète pas la réalité sportive de ces deux personnages et en atténuent leurs effets.Il est logique
de penser que la principauté de ce binôme est d'abord sa finalité plutôt qu'un intérêt personnel ,ce qui est naturel dans son ensemble.
La logistique de l'épreuve incombe donc directement sur le guide lui-même et ses facultés à gérer tous ces détails ainsi que celui du ravitaillement qu'il soit solide ou liquide qui ne doit pas être négligé sous peine d'un enrayement du binôme dan sa progression.
L'esprit d'équipe rentre aussi dans une logique de base,celle-ci est transmise du guide au non-voyant ou mal-voyant par un apport mental accru et un optimisme sans faille suivi par une gestuelle commune et bien décrite sur le terrain.
Le guide doit donc en permanence prévoir tout les écueils qui pourraient se dresser sur la route du binôme à savoir la gestion du terrain ,ses dénivelés,la durée d'effort à développer ainsi que le trafic de l'épreuve et bien sûr la faculté de pouvoir intervenir sur une éventuelle blessure ou d'un quelconque malaise qui d'ailleurs ce dernier ne devrait pas être présent si le guide et son coéquipier sont en excellentes conditions physiques et mentales.
En n'oubliant pas de demander l'intervention d'une assistance médicale s'il s'avérait que son protégé souffre d'une quelconque défaillance dans les plus brefs délais.
Si tous ces paramètres "sont au vert " pour le binôme alors aucun problème pour envisager une issue des plus appréciable agréable à vivre dans son ensemble.
Runner14
27 mars 2010
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